4e de couverture :
Préface de Raymond Jean. Avec une lettre de Léon Trotski.
Tout à la fois histoire d’amour, récit d’aventures apocalyptiques et roman d’anticipation politique, salué par Trotski, apprécié de Lénine et célébré par Anatole France, Le Talon de fer annonçait dès 1908 une dictature d’un genre nouveau. La narratrice en fuite, fille de bonne famille que rien ne prédisposait à la colère, raconte sa rencontre avec l’homme qui devait devenir son mari, sa disparition, et ce qu’il advint dans un monde « civilisé » de leurs formidables rêves à vouloir changer l’ordre des choses…
Olive –
Connu du grand public pour ces romans célébrant la nature sauvage, Jack London a aussi livré une critique sociale sans concession de son époque.
Socialiste convaincu, il dénonce dans ce roman d anticipation un systeme capitaliste paroxystique et mortifère qui provoquera le soulevement general des populations opprimées et mènera à une revolution mondiale sanglante.
Analogie évidente avec notre époque, souhaitons nous une issue plus heureuse que celle qui conclue cette histoire.
Aristidd –
Jack London… L’incontournable, et encore un ouvrage que je ne connaissais pas, merci kk