Guy Debord (1931-1994) a suivi dans sa vie, jusqu’à la mort qu’il s’est choisie, une seule règle. Celle-là même qu’il résume dans l’Avertissement pour la troisième édition française de son livre La Société du Spectacle : « Il faut lire ce livre en considérant qu’il a été sciemment écrit dans l’intention de nuire à la société spectaculaire. Il n’a jamais rien dit d’outrancier. »
Masssi –
Lecture difficile tant le sujet est hardu, mais bien efficace pour une bonne remise en question de ce système de domination des foules
ska –
« La vérité de cette société n’est rien d’autre que la négation de cette société. »