En 1919 déjà, Gottfried Feder annonçait le triomphe, mais aussi le danger d’une finance mondialisée et virtualisée au détriment du capital industriel national. Conscient du risque d’hyperinflation et de la perversité de la logique de l’argent-dette, il anticipa l’effondrement du mark lors de la crise de 1923 et l’implosion de l’économie qui eut lieu en 1929, restée en mémoire sous le nom de Grande Dépression. Le Manifeste pour briser les chaînes de l’usure se veut une mise en garde contre un système dont l’auteur avait compris la fragilité et la toxicité, mais qui pourtant, dans un mécanisme cyclique, après chaque krach toujours aussi destructeur pour les peuples, renaît de ses cendres pour toujours mieux servir une oligarchie qui s’en repaît. Jusqu’au « Big One » qui balayera tout.
Dialtil –
On ne voit pas le temps défiler, tout est dit
Hey45 –
AAAh l’arnaque de l’usure