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Souvenez-vous des Kennedy – Laurent Guyénot présente ses travaux au public américain

Je l’admets : j’aime les Kennedy. En fait, j’adore les Kennedy. Religieusement. Je pense qu’ils méritent un culte héroïque. Selon le grand spécialiste Lewis Farnell, « le héros au sens religieux grec est une personne dont la vertu, l’influence ou la personnalité fut si puissante dans sa vie ou par les circonstances particulières de sa mort que son esprit est considéré après sa mort comme une puissance surnaturelle, exigeant vénération et propitiationi. » [1] En bref, un héros est un mort vénéré par un culte et des traditions mythiques ou légendaires. Les héros sont des demi-dieux car ils incarnent plus que leur âme individuelle. En d’autres termes, la ferveur religieuse pour les héros est ce qui donne une âme collective à la cité.

Les Kennedy ont l’épaisseur de héros tragiques grecs. Bobby l’avait compris. Après la mort de son frère, il avait trouvé du réconfort dans le classique d’Edith Hamilton, The Greek Way, dont Jackie lui avait donné une copie. Des citations d’Eschyle avait résonné en lui, comme celle-ci qu’il mémorisa : « Dans notre sommeil, la douleur qui ne peut pas oublier tombe goutte à goutte sur le cœur jusqu’à ce que, dans notre propre désespoir, contre notre volonté, vient la sagesse par la terrible grâce de Dieu. » [2]

J’ai rendu hommage aux Kennedy dans un film tout récemment traduit en anglais, intitulé Israel and the Assassinations of the Kennedy Brothers, produit par ERTV et basé sur mon article de la Unz Review, Did Israel Kill the Kennedys ?. Voici ma déclaration finale (pardonnez l’accent français) :

Il y a dans la tragédie des Kennedy une signification providentielle. C’est pourquoi la lumière sur cette affaire marquera le début de la fin du contrôle mental exercé par le mouvement sioniste sur l’Amérique et l’Occident en général. Un jour, espérons-le, les frères Kennedy recevront aux États-Unis le culte national qu’ils méritent en tant que héros et martyrs de la lutte contre la criminalité mondiale d’Israël.

Chomsky n’est pas d’accord : « Qui se soucie de savoir qui a tué Kennedy ? Je veux dire, il y a plein de gens qui meurent tout le temps ! » Voilà une déclaration qui ne doit pas nous étonner de la part de Chomsky. Je crois, au contraire, qu’il est important de nous informer et de transmettre l’information sur les preuves accablantes qui incriminent Israël et son larbin Johnson dans les deux assassinats des Kennedy. La vérité est maintenant en marche, imparable : Israël a tué les Kennedy ! Non pas l’ « État profond » – à moins que ce ne soit un euphémisme pour le « Pouvoir sioniste ». Dans le film, nous avons essayé de relier et de synthétiser les preuves circonstancielles les plus importantes afin de produire un verdict convaincant. Michael Jones a écrit à ce sujet : « À mon avis, c’est la meilleure analyse de l’assassinat de John et Robert Kennedy. » Je suis vraiment honoré.

Je profite de cette occasion promotionnelle pour partager quelques pensées sur la pertinence de cette histoire pour les États-Unis et pour le monde, aujourd’hui et demain.

Giles Corey a récemment écrit que Trump est important, non pas pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il représente aux yeux de ses ennemis : l’Amérique blanche. Les Kennedy sont également importants en raison de ce qu’ils représentaient aux yeux de leurs assassins : des obstacles à l’ambition hubristique d’Israël et à son influence corruptrice. Les Kennedy sont importants parce qu’une analyse impartiale de leurs assassinats expose au grand jour le pouvoir sioniste et, quand cela sera plus largement connu des Américains, cela les rendra furieux comme rien d’autre. L’histoire des Kennedy a le potentiel de devenir un nouveau mythe fondateur. Pensez à l’amour durable de millions d’Américains pour les Kennedy, qui est pour eux ce qui se rapproche le plus d’une famille royale. Les experts en propagande qui se font appeler QAnon savent ce qu’ils font en répandant la rumeur selon laquelle JFK Jr. est QAnon. On peut en rire, mais d’un point de vue anthropologique, c’est une indication de la ferveur religieuse populaire que mobilisent encore les Kennedy et leur tragique destin. La plupart des Américains comprennent que le meurtre de JFK était un coup d’État qui leur a volé leur pays, et ils commencent à comprendre qui l’a volé.

Il y a quelque chose de christique chez les Kennedy. Pas comme des saints, bien sûr, mais comme des martyrs. Résister aux élites juives au péril de votre vie, n’est-ce pas là l’essence de « l’imitation du Christ » ? Ça devrait l’être.

J’ai commencé ma recherche sur les Kennedy il y a environ douze ans. Je venais de travailler sur le 11 Septembre et, pour moi, cette quête de vérité sur les Kennedy fut une expérience très différente de la quête de vérité sur le 11 Septembre. Il y a bien des héros dans l’histoire du 11 Septembre, mais c’est une histoire dominée par des personnages maléfiques, des âmes machiavéliques ténébreuses. Kennedy est la lumière ! Relativement parlant, bien sûr : les Kennedy avaient leur côté obscure, mais comparés au crypto-juif Johnson, c’est la lumière contre les ténèbres !

Ma première lecture sérieuse sur Kennedy a été le livre de James Douglass, JFK et l’Indicible (2008). Je l’ai tellement aimé que j’ai convaincu la maison d’édition Demi-Lune de le traduire en français. Je considère maintenant que ce livre est trompeur et, lors de mes échanges avec Douglass, alors que j’en apprenais davantage sur l’affaire, j’ai été perturbé par sa réticence à prendre en compte les soupçons contre Johnson et contre Israël. [3] Douglass souligne avec beaucoup de talent la détermination de Kennedy d’abolir les armes de destruction massive, mais il ne fait même pas allusion à son bras de fer avec Ben Gourion à propos de Dimona. De ce point de vue, « l’indicible » dans le titre du livre prend un sens ironique. Pourtant, je considère toujours le livre de Douglass comme un excellent portrait du caractère, de la vision et de la lutte de JKF pour la paix, mais avec un énorme angle mort.

Quand j’ai finalement lu le livre de Michael Collins Piper Final Judgment : The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy (première édition 1993), j’avais déjà compris que le 11 Septembre n’était pas un inside job, mais un Mossad job. Sur la base des récentes révélations sur l’opposition ferme de Kennedy aux ambitions nucléaires secrètes d’Israël (à commencer par The Samson Option de Seymour Hersh, paru en 1991), Piper a pu identifier le mobile principal d’Israël. Il a fait de nombreux disciples. L’un d’eux était le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, qui a déclaré une fois publiquement (la séquence se trouve dans le film) :

Kennedy avait décidé de faire inspecter l’installation nucléaire de Dimona. Il a insisté pour le faire, afin de déterminer si, oui ou non, on y produisait des armes nucléaires. Les Israéliens ont refusé, mais il a insisté. La crise a été résolue par la démission de Ben Gourion. Il démissionna pour ne pas avoir à donner son accord à une inspection de la centrale de Dimona, et il donna le feu vert au meurtre de Kennedy. Kennedy a été tué parce qu’il a insisté pour que l’usine de Dimona fasse l’objet d’une inspection.

Le 23 septembre 2009, Kadhafi a eu le courage de demander une nouvelle enquête sur Kennedy devant l’Assemblée générale de l’ONU. Deux ans plus tard, il a été tué (et son meurtre filmé, une signature d’Israël) et son pays détruit. Dimona n’était pas le seul mobile du crime. Les Kennedy étaient également déterminés à arrêter ce qu’on appelle par euphémisme le « lobby israélien », avant qu’il ne devienne trop puissant pour être arrêté. En 1960, en tant que candidat présidentiel, John Kennedy a reçu la visite d’Abraham Feinberg, qui était à la fois le financier de Johnson et l’un des hommes clés du projet Dimona. Voici comment Kennedy a résumé la demande de Feinberg à son ami Charles Bartlett : « Nous savons que votre campagne est en difficulté. Nous sommes prêts à payer vos factures si vous nous laissez le contrôle de votre politique concernant le Moyen-Orient. » Bartlett se souvient que Kennedy était profondément bouleversé et a décidé que « s’il parvenait à devenir président, il s’occuperait de ce problème ». [4] Il l’a fait. Avec le sénateur William Fulbright du Comité sénatorial sur les relations étrangères, les Kennedy ont tenté d’obliger le Conseil sioniste américain (et sa division de lobbying AIPAC) à s’enregistrer comme « agent étranger », ce qui aurait considérablement réduit son efficacité. Après l’assassinat de John, la procédure a été enterré par le successeur de Bobby, Nicholas Katzenbach, et l’AIPAC est devenue la force la plus corruptrice des États-Unis.

Les suprémacistes juifs avaient vu les Kennedy venir de loin. Dans Jack et Bobby, ils ont vu leur père. Joe Kennedy avait été notoirement critique de l’influence juive pendant la Seconde Guerre mondiale. Jusqu’en 1940, en tant qu’ambassadeur à Londres, il avait soutenu la politique d’apaisement de Neville Chamberlain contre la politique belliciste de Churchill. Il a démissionné avant que Roosevelt n’entre en guerre et, en 1945, il a exprimé en privé l’opinion que « les juifs ont gagné la guerre ». [5] Et donc, pour Ronald Kessler, auteur du livre Les Péchés du Père. Les origines secrètes du clan Kennedy, le péché capital de Joe Kennedy était « son antisémitisme bien documenté [et] ses efforts pour apaiser Adolf Hitler », [6] un thème repris à foison.

Bien que les sionistes ne le savaient probablement pas jusqu’à récemment, en 1945, JFK avait écrit les lignes suivantes dans son journal :

On peut facilement comprendre que, dans quelques années, Hitler émergera de la haine qui l’entoure comme l’une des figures les plus significatives qui ait jamais vécu. […] il y a une part de mystère en lui, dans la façon dont il a vécu et dont il est mort, qui survivra et grandira après lui. Il avait en lui la matière dont sont faites les légendes.

Kennedy a été pris pour cible dès qu’il a remporté l’investiture Démocrate. Le Complexe sioniste, dirigé par Feinberg, lui a imposé par le chantage son futur assassin comme vice-président. Kennedy l’a dit lui-même à ses proches, mais il se faisait une raison, et dit à son ami Kenneth O’Donnell : « J’ai quarante-trois ans, […] je ne vais pas mourir en fonction. Donc, la vice-présidence ne veut rien dire. » Le président Kennedy, cependant, restait fidèle à ses convictions. Le 11 mai 1962, John et Jackie avaient invité Charles Lindbergh et sa femme à la Maison-Blanche. C’était un geste symbolique, sans gain politique. Je peux imaginer que, pour les sionistes, cela confirmait leur inquiétude que Joseph Kennedy ait « injecté des gouttes vénéneuses d’antisémitisme dans l’esprit de ses enfants » (comme l’imprimait Herut, le parti de Menachem Begin) [7]. Si Kennedy avait vécu, le révisionnisme de la Seconde Guerre mondiale ne serait peut-être pas criminalisé comme il l’est aujourd’hui. C’est sous Johnson que l’expansion d’Israël et le culte sombre de l’Holocauste ont commencé.

Au vu de ce que les Kennedy représentaient pour Israël, c’est une ironie cruelle que dans le récit dominant, Robert Kennedy ait été tué par un assassin palestinien pour son amour d’Israël. Cela, comme je le montre clairement dans le film d’ERTV, n’est qu’un énorme mensonge. Il est également ironique que Bobby, un catholique fervent avec onze enfants, qui fut l’assistant de Joe McCarthy pendant sept mois (et a assisté à ses funérailles), soit maintenant salué comme « une icône libérale » par Larry Tye. Si s’opposer à la folie du Vietnam signifie être « libéral », alors nous devrions redéfinir « libéral ». Et n’est-il pas drôle que Thane Eugene Cesar, un des suspects dans le meurtre de Robert, ait dit un jour que les Kennedy avaient « vendu le pays aux communistes » [8], alors que John qualifiait le communisme de « conspiration monolithique et impitoyable » dans son célèbre discours du 27 avril 1961 à l’American Newspaper Publishers Association (souvent cité hors contexte).

Le pouvoir juif est le pouvoir du mensonge et doit être combattu avec la vérité. C’est pourquoi les assassinats de Kennedy sont un champ de bataille important. Quelle meilleure illustration de la duplicité israélienne qu’Arlen Specter, l’inventeur de la théorie de la « balle magique », et « un défenseur inébranlable de l’État juif » selon l’État juif lui-même, titrant son autobiographie Passion pour la vérité ?. Le mensonge n’a pas de limite : Israël n’a pas seulement assassiné physiquement les Kennedy, ils continuent d’assassiner leur mémoire avec un flot ininterrompu d’ordures jetées sur leurs tombes.

Bien sûr, les Kennedy n’étaient pas parfaits. Ce n’étaient pas des nationalistes blancs. Pourtant, ils représentaient l’Amérique blanche comme aucune autre famille présidentielle américaine. Ils étaient en fait très attachés à leurs origines ethniques. John a amené deux douzaines de ses amis irlandais à la Maison-Blanche, en disant : « La présidence n’est pas un bon endroit pour se faire de nouveaux amis. Je vais garder mes vieux amis. » [9] L’attachement des Kennedy à l’Irlande n’était pas politique : l’Amérique était leur pays, mais l’Irlande était toujours la terre des pères (fatherland). Imaginez : « Les quatre grands-parents de JFK étaient tous des enfants d’immigrants irlandais qui ont quitté leur pays natal au milieu du XIXe siècle pour de nouvelles rives », comme je l’ai lu sur la page Web « How Irish was John F. Kennedy ? », d’où est tiré le carton de la visite de JFK à Dublin en juin 1963. Voilà ce que Gumplowicz appellerait du « syngénisme » ! [10] Si la notion de « racines » signifie quelque chose, alors elle s’applique à ce que Jackie, faute d’une référence irlandaise appropriée, appelait « Camelot ». Si nous pensons métahistoriquement, il y a beaucoup de signification dans ces racines irlandaises des Kennedy. Être Irlandais va de pair avec être catholique. Même dans la génération de Jack et Bobby, se marier avec des catholiques allait de soi (Ethel était irlandaise de surcroît). Les Irlandais ont versé leur sang comme aucun autre peuple pour rester catholiques, alors ils n’abandonnent pas leur catholicisme si facilement. Et ainsi vous m’entendrez dire dans le film : « La dynastie Kennedy incarnait la racine et la branche catholique irlandaise du peuple américain, avec tout ce qu’elle représente en termes d’antagonisme au puritanisme anglais, la branche la plus judaïsée du christianisme. » Pour illustrer ce point, voici les premières lignes du très beau livre de Robert Kennedy Jr., American Values : Lessons I learned from My Family, 2018 :

Depuis mes plus jeunes années, j’ai toujours eu le sentiment que nous étions tous impliqués dans une grande croisade, que le monde était un terrain de bataille entre le bien et le mal, et que nos vies seraient consumées dans ce conflit. Ce serait ma chance si je pouvais jouer un rôle important ou héroïque. Et depuis toujours, cette conviction était enracinée dans le fervent catholicisme de ma famille et profondément liée à la politique du pays. Il y avait eu des politiciens irlandais des deux côtés de ma famille depuis des générations, il n’était donc pas surprenant que nous, les enfants, parlions de politique dès le jour où nous pouvions parler. Une telle passion était venue naturellement à un peuple dont la distinction entre martyre politique et religieux s’était estompée pendant huit cents ans d’occupation britannique. Dès leur arrivée en Amérique, les Irlandais se sont tournés vers la politique comme les affamés pour la nourriture, après avoir été étouffés pendant des siècles par des lois qui leur interdisaient de participer au destin politique de leur nation. Dès 1691, la loi irlandaise interdisait aux catholiques de voter, de faire partie de jurys, de fréquenter l’université, de pratiquer le droit, de travailler pour le gouvernement ou d’épouser un protestant. [11]

Mais tout cela est encore secondaire. Les frères Kennedy doivent être chéris par les patriotes américains parce qu’ils ont été maudits par le pouvoir juif, comme Edward Klein le note insidieusement dans La Malédication des Kennedy, en rapportant que cette malédiction a été proférée par un rabbin contre Joe Kennedy et sa descendance. Fait intéressant, en cette journée ensoleillée du 22 novembre 1963, au moment et à l’endroit précis où JFK a été abattu, se tenait un homme avec un parapluie noir, qui a affirmé plus tard qu’il voulait « chahuter » JFK à propos de la politique pro-nazie de son père. Le parapluie noir était un symbole bien connu de Chamberlain, au point qu’à son retour de Munich en 1938, « des vieilles dames suggéraient que le parapluie de Chamberlain soit mis en pièces et les pièces vendues comme relique sacrée », selon Pat Buchanan [12]. Comme l’a écrit un commentateur de mon article sur la Unz Review : « L’homme au parapluie est comme l’écriture sur le mur de la pièce où le tsar Nicolas II et sa famille furent assassinés. » Pensez à ce que le culte des Romanov fait pour la Russie aujourd’hui : ils sont maintenant canonisés en tant que « saints martyrs impériaux », avec leur propre église construite sur le site de leur massacre par les bolcheviks juifs. C’est à ce point que la vérité sur les Kennedy et leur reconnaissance comme martyrs nationaux sont importants pour l’Amérique. Ceux qui aiment les Kennedy aiment la vérité. De l’amour de la vérité découle l’amour de la justice. Et de l’amour de la justice découle le courage.

Laurent Guyénot


Visionnez ici le documentaire en version anglaise :

Notes

[1] Lewis Richard Farnell, Greek Hero Cults and Ideas of Immortality (1921) Adamant Media Co., 2005, p. 343

[2] Il l’a cité de mémoire le 4 avril 1968, devant une foule d’Afro-Américain à Indianapolis

[3] J’ai aussi interviewé Douglass pour le site www.reopen911.info

[4] Seymour Hersh, The Samson Option : Israel’s Nuclear Arsenal and American Foreign Policy, Random House, 1991, pp. 94–97

[5] Alan Hart, Zionism, The Real Ennemies of the Jews, vol. 2 : David Becomes Goliath, Clarity Press, 2013, p. 252

[6] Ronald Kessler, The Sins of the Father : Joseph P. Kennedy and the Dynasty he Founded, Warner Books, 1996, p. 2.

[7] Alan Hart, Zionism : The Real Enemy of the Jews, vol. 2 : David Becomes Goliath, Clarity Press, 2013, p. 252

[8] Dans le documentaire de Shane O’Sullivan, RFK Must Die : The Assassination of Bobby Kennedy (2007)

[9] Ted Sorensen, Kennedy (1965), Harper Perennial, 2009, p. 36

[10] Ludwig Gumplowicz voit le « sentiment syngénique », la base du lien social, comme fondé prioritairement sur la consanguinité, mais aussi l’éducation, la langue, la religion, les coutumes et les lois : Ludwig Gumplowicz, La Lutte des races. Recherches sociologiques, Guillaumin, 1893 (archive.org), pp. 242-261

[11] Robert Kennedy Jr., American Values : Lessons I Learned from my Family, Harper Luxe, 2018, p. 1.

[12] Patrick J. Buchanan, Churchill, Hitler, and « The Unnecessary War » : How Britain Lost Its Empire and the West Lost the World, Crown, 2008, p. 208

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