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Nouveauté Kontre Kulture : Mon retour à la terre, Guide du néo-rural

Tout quitter et partir, qui n’en a rêvé parfois ? Vivre avec les saisons, avoir de l’espace, voir ses enfants courir, heureux et crottés, les joues roses et le regard vif dans l’air frais d’un matin d’automne, échapper au bruit des villes, aux transports en commun bondés, aux bouchons, à la pollution : qui n’aurait pas un jour donné cher pour y arriver ?

Que l’on craigne un effondrement économique ou qu’on ne le craigne pas, retourner à la campagne, devenir le plus autonome possible, n’est ni une fuite ni même un refuge, c’est avant tout décider de changer de rythme, de modifier ses priorités, de donner un sens différent à sa vie.

Pratiquant la permaculture depuis plus de dix ans, Nicolas Fabre fut un de ces jeunes citadins qui aurait pu continuer une vie sans véritables soucis, oubliant dans la fête, la fumée ou l’alcool, le vide de son existence. Pour lui, tout quitter et partir, c’était ne rien quitter en réalité, c’était pouvoir, en se confrontant à la nature, se confronter à lui-même, tirer sa subsistance de son seul travail, apprendre durement parfois ce que des générations d’hommes ont su, tout en découvrant des techniques nouvelles ; c’était s’enraciner dans une terre pour vivre enfin debout.

 Ce guide, tiré de sa propre expérience, vous donnera des clefs, depuis les critères de choix d’une région, d’un terrain, les impasses et échappatoires du labyrinthe administratif jusqu'à la greffe d’un arbre fruitier ou la reproduction des poissons d’élevage, pour réussir ce grand virage vers une existence plus humaine.

2 commentaires sur “Nouveauté Kontre Kulture : Mon retour à la terre, Guide du néo-rural

Fabre dit :

En temps de crise économique majeur,ou pire, on vie mieux à la campagne qu’en ville,ce qui fait que misère et pauvreté sont deux mots différents.
malgré les difficultés, la quête de souveraineté nourrit plus l’âme que la simple survie en travaillant pour un truc banale, enfin c’est mon point de vus,moi,je déprime si j’œuvre pas pour un idéale, une chose éthique.
il est d’ailleurs fort probable que cela devienne la seul retraite possible, autant œuvrer pour sa retraite (anticipée).
méfiance avec la fuite (classique) vers les températures clémentes…en s’incarnant nous portons différents poids à alléger,familiale par exemple, tout comme nous avons la civilisation occidentale à faire évoluer, nous sommes presque au cœur du cancer.
rester ne serait ce que pour exprimer sa souffrance est vertueux ,partir, c’est comme un suicide, vous ne servez plus à rien pour ceux qui restent et il est délicat de prétendre servir convenablement l’évolution du peuple qui vous accueillera, sans des dizaines d’années d’études de ce peuple… qu’est ce qui vous différencie d’un autre immigré? serez vous fière d’exhiber votre richesse? votre chance? votre différence?
exode rurale,exode urbain, émigration… toujours en quête de plus,toujours à fuir,la nature reste la,les cuisses ouverte à notre intégration en sont sein,l’intégration de nos activités dans le respect du vivant est représentatif de notre savoir vivre au sein de notre propre espèce.
combien de temps continuerons nous à nous comporter comme des virus ou des tumeurs cancéreuses?

ED dit :

LE RETOUR A LA TERRE SERA PEUT ETRE INEVITABLE UN DE CES JOURS ….
JE VIENS DE LA CAMPAGNE MES PARENTS SONT PAYSANS ….JE BOSSE EN USINE ….J’AI VECU PLUSIEURS ANNEES EN APPARTEMENT ….ET DEPUIS QUELQUES ANNES J’AI MON PETIT BOUT DE TERRAIN AVEC MON POTAGER ET MES QUELQUES MOUTONS , CHEVRES ET POULES……DE LA A EN VIVRE …FAUT PAS TROP REVER NON PLUS ..MAIS DES QUE LA RETRAITE ARRIVE ….SALUT LES GUEUX…JE PARS AU SOLEIL AVEC MON MAIGRE BALUCHON ET JE PENSE QUE JE VAIS FAIRE MON VERITABLE RETOUR A LA NATURE MAIS DANS UN PAYS PLUS ACCEUILLANT ……

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