Conférence donnée en allemand par Julius Evola le 7 décembre 1940 au palais Zuccari à Rome, La Doctrine aryenne du combat et de la victoire pose la question du dépassement de la condition humaine par la guerre, qui n’est que le reflet du combat éternel auquel se livrent les forces métaphysiques. Alors qu’il est généralement admis que « toute action dans le domaine matériel est limitative et que le domaine spirituel le plus élevé n’est accessible que par d’autres voies que celle de l’action », l’auteur nous rappelle qu’au contraire, pour les anciens Aryens, action et contemplation ne sont pas opposées, mais sont « deux voies distinctes pour parvenir à la même réalisation spirituelle ». Ainsi, le combat, lors de l’action suprême qu’est la guerre, est d’abord un combat intérieur, car celui qui, dans la « petite guerre sainte », la lutte armée, a su vivre une « grande guerre sainte », d’ordre spirituel, « celui-là a créé en soi une force qui le rend capable de surmonter la crise de la mort ».
Julius Evola (1898-1974) est un philosophe italien, issu de la petite noblesse sicilienne, qui s’adonna également à la peinture et la poésie. Grand lecteur de la Bhagavad-Gîtâ, mais aussi des textes bouddhiques, il s’intéresse aux écrits de René Guénon, devient l’ami de Mircea Eliade, se rapproche du fascisme et œuvre au rétablissement d’un empire romain germanique dans l’esprit gibelin. Judéophobe, mais se distanciant d’un « antisémitisme vulgaire », il défend une conception spirituelle de la race, la « race de l’esprit ».
Sébastien de La Rochefoucauld –
Dans La Doctrine aryenne du combat et de la victoire, Julius Evola propose une vision radicale et spirituelle du combat, une « guerre sainte » qui permet à l’individu de se libérer des limitations humaines pour accéder à une conscience supérieure.
L’ouvrage est accessible, tout en conservant sa profondeur et sa complexité.
Thibaut –
Ce petit livre permet de redonner ses lettres de noblesse au combat guerrier en nous replongeant dans cette dimension hautement spirituelle qu’avaient nos ancêtres de l’engagement, dans lequel l’homme dépasse et se libére de sa condition purement matérielle.
Sébastien –
Un ouvrage qui pousse à partir à l’action et à l’engagement. Une lecture, rapide, simple et accessible contrairement à d’autres ouvrages d’Evola.
Sylvanas –
Rapide et essentiel, grâce à ce livre les mots deviennent des flèches et le combat prend tout son sens.
nounascut09 –
Mon interprétation: l action réellement engageante permet de s élever au dessus d une condition humaine simpliste et amène à une conscience « supérieure ».
ryan.handa95 –
Très abordable , facile à lire , contrairement à son dernier ouvrage » Chevaucher le tigre » . Je le recommande à tous ceux qui s’intéressent au pérennialisme . Merci E&R pour la publication de cet » opus » .
contact_25 –
Très belle couverture et Format idéale
Le travail d’Anne colle bien à l’esprit donc Anne je vous félicite .
Cette écrit issu de la conférence du 7 décembre 1940 à Rome est à mon sens, un genre de pont entre Révolte contre le monde moderne & Orientation.
La vertu du combat au sens noble du terme.
Merci E&R
Bellechasse –
Les Aryens sont peut-être des guerriers mais pour acheter leur uniformes et leurs armes ils doivent emprunter à l’usurier israélite .