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Nouveauté Kontre Kulture : La Mort du roi et les secrets de Saint-Fargeau de Marion Sigaut

Marion Sigaut est une historienne et écrivain française, née en 1950 à Paris. Après différentes expériences de vie et d’écriture, parfois personnelles, parfois plus engagées, poussée par le désir de comprendre ce qui s’est passé autour de l’affaire Damiens, elle reprend ses études pour devenir historienne. Elle se spécialise alors dans le XVIIIe siècle et publie notamment deux livres : l’un sur les sombres secrets de l’Hôpital général, l’autre sur l’énigme Damiens. Elle enchaîne ensuite articles et conférences dans toute la France, et au-delà.

Ses différents travaux l’ont conduite à remettre en cause l’idée du progrès apporté par les Lumières. Elle montre au contraire que celles-ci permirent l’émergence du monde bourgeois et libéral opposé à une monarchie et un ordre chrétien qui, loin d’opprimer le peuple comme on veut aujourd’hui nous le faire accroire, étaient le rempart des faibles contre les puissants et la consolation des plus pauvres.

L’Histoire, telle qu’elle est enseignée dans nos écoles et relayée par nos médias, empêche de comprendre le monde actuel et de le saisir dans une critique globale. Une réécriture orientée dans le but de nous forcer à penser dans une seule direction : celle du progrès contre la tradition, de la raison contre l’esprit et de la liberté contre une supposée tyrannie. Combat contre la tyrannie qui nous amène, de façon bien plus certaine, à la « servitude volontaire ».

Le 21 janvier 1793, alors que Louis XVI était guillotiné place de la Révolution, mourait Michel Lepeltier de Saint-Fargeau, percé d’un coup d’épée dans une auberge du Palais-Royal. Deux destins qui se sont croisés. Pourquoi et par qui le riche aristocrate, ami de Robespierre, a-t-il été tué ? Qu’est devenu le tableau que Jacques-Louis David fit de sa dépouille ? La version officielle faisant de lui un « héros révolutionnaire » est-elle la bonne ? À y regarder de près, le culte rendu au premier martyr de la République par les conventionnels semble cacher bien des turpitudes, bien des mensonges et bien des mystères dont la disparition du tableau pourrait être le moindre.

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