Panier

Votre panier est vide.

Menu

3 commentaires sur “Alain Soral présente « La Face cachée de l’École » d’Arnauld de Tocquesaint

Dela dit :

Je ne ferai pas un long discours, mais je suis professeur des écoles et je suis tout à fait d’accord sur ce point. Les niveaux baissent et les nouveaux programmes en sont une belle preuve ! Quand je vois les conneries qu’on nous a mis dans les nouveaux programmes que cela soit en français, en EMC ou histoire je désespère…

sophien dit :

L école du xx| siècle na q’un seul but formater les futurs francais,en choisissant rigoureusement les informations transmise non pas pour qu’il sois instruis et ai une libre pensées et une réflexions constructive mais bien pour être un des rouages du formatage télé, école,jeux afin de faire deux de bon esclaves bien docile bête soumis aux différente mode,a la méfiance de l autre a la politique d offre et de demande artificiellement contrôler par les elites qui veule perpétuer leur pseudo dynastie (politique,affaire médias)pendant que le prolétariat pert peu à peu tous ses acquis par manque de connaissance (immigrations)ou de moyens dans les deux cas on arrive au même résultat une mains d oeuvre docile et bon marcher qui ne sais qu’ une chose qu elle na pas d argent mais qui ne sais pas pourquoi qui vie dans un système mais sans en comprendre les rouages esclave de la conssomation qui se fait dépouiller mais sans savoir par qui ni pourquoi se résumant pour les plus malins d entre eux a un tous des pourris au gouvernement si il parle français pendant se temps les politiques et les grand groupes s enrichisses a tous va pas ceux qui les composes mais bien ceux qui en sont a la tête et qui possède le savoir et l information je n’ai q ‘un conseil a donner contrôler ce que vos enfant apprenne et voie j’usqu’à ce qu’ils soit en âge de réflexion (plus facile a dire qu’a faire je le conssoit après une journée a l usine par ex) mais je pensse que sa vaut le coup PS lutter aussi contre l individualisme qui ronge notre société (diviser pour mieux régner)

chanedieras dit :

Tout ceci est bien vrai. Pour mettre ce programme en place, plusieurs opérations sont menées, je voudrais vous parler de l’une d’elles, il s’agit de la façon dont on oblige les élèves à choisir une orientation post-bac. Pour désorienter les élèves et les « distraire » de leurs études, on opère ce que j’appellerais une destruction de la linéarité du temps, je m’explique. Pour un arbre fruitier, il y a d’abord les fleurs, puis les fruits, puis les graines, tout ne vient pas en même temps. Appliquée aux études, cette analogie devient, on va à l’école, lorsque l’école se termine, on passe son examen, et, dès qu’on a son examen, on s’inscrit à la fac. Aujourd’hui, les élèves de terminale doivent être inscrits avant la fin du deuxième trimestre, ils passent des épreuves d’oral (pour le bac) dès le début du troisième trimestre et pendant toute la période de révision qui va de fin mai jusqu’au 17 juin, jour de la philo. Les élèves zappent donc les cours et les révisions pour aller passer leurs oraux, reviennent ensuite en cours pour continuer le programme, alors qu’ils ont déjà passé des épreuves d’examen, comment voulez-vous qu’ils soient performants les jours d’examen écrit. Ils ne savent plus vraiment où ils en sont. Pire encore, les épreuves d’oral ne se passent pas dans leur lycée. Ils doivent, en tout cas dans le lycée où j’enseigne, faire 180 kms aller retour et ce, trois fois de suite pour aller passer les oraux. Et donc, soit les parents prennent des jours pour ça, soit les élèves qui ont globalement leur permis de conduire depuis trois semaines y vont seuls. Stress multiplié par deux ou trois, certains élèves reviennent en larmes, la plupart avoue n’avoir été qu’à 50% de leur capacités, stress oblige. Nous, les profs, on a bien essayé de faire entendre raison au Rectorat mais rien n’y a fait, problème d’organisation et de budget, même argument à chaque fois. Tout ceci contraste évidemment avec les grands lycées où sont inscrits fils de ministres, de députés ou autres qui sont, eux, placés dans des conditions idéales. Cette destructuration de la linéarité du temps est évidemment un moyen de baisser le niveau du bac pour les élèves qui sont dans les petites communes et permettre le renouvellement des élites par leurs enfants placé dans des conditions idéales.
Franck

Laisser un commentaire